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mardi 2 décembre 2014

Monétisation et Internet

Par LordPouic

Comme je l’ai déjà dit, je suis développeur de jeux vidéo (c’est moi qui fais les petites lignes de code), mais étant dans une startup au personnel réduit (trois personnes dans les jours d’affluence), j’ai très vite dû m’intéresser à de nombreux domaines éloignés de l’informatique. Graphisme, communication, ergonomie, monétisation, me voilà. 

Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de ce dernier domaine, de cette monétisation très fluctuante et des fois compliquée à comprendre, surtout sur Internet.


lundi 1 décembre 2014

La série qui parle d'elle-même ou le narcissisme poussé à la génialitude : Supernatural

Par Alabama

(Gare aux spoilers. Ils seront tous en gris pour que vous puissiez les fuir comme la peste.)


« Regarde Supernatural. » « Non. » « Regarde Supernatural, alleeeez. » « J’ai regardé le premier épisode. C’était tout moisi. » « Allez ! Je te fais un résumé des trois premières saisons, comme ça t’arrives directement à l’arrivée de Castiel ! » « Non. » « Allez ! » « Bon, d’accord. »

Trois ans. Trois ans pour que les harcèlements de Rainbowl visant à me faire regarder cette série baignée dans le n’importe quoi absolu aboutissent. Trois ans, et elle a réussi. Une fois installée devant mon écran et la saison 4, j’ai avalé les épisodes comme un hamburger végétarien de chez Joe Allen.

Vous voulez savoir le pire ?
J'ai écrit la blague nulle ci-dessus avant même de trouver l'image.

Supernatural, c’est cette série qui était vaguement diffusée dans la Trilogie du Samedi sur M6. Bon, je n’avais pas le droit de regarder. Ma Maman était responsable. Enfin, je n’avais pas le droit de regarder Buffy non plus. Ma Maman était un tyran.

jeudi 27 novembre 2014

Hell yeah, I'm demisexual

Par Rainbowl


So proud.

A la base, je voulais écrire un article lexique LGBT. Et j'ai renoncé devant l'ampleur de la tâche. Ensuite, j'ai voulu écrire un article sur l'asexualité, demisexualité, hyposexualité etc., et j'ai encore une fois renoncé, par peur de me tromper, de dire n'importe quoi. Et me voilà : je vais vous parler de ce que je connais le mieux, la demisexualité seulement, non seulement parce que ce terme n'est pas accepté par tout le monde, mais aussi parce qu'il pose la question de la façon dont on choisit de se définir : y a-t-il une limite aux « labels » qu'on se donne ? J'ai trouvé ma réponse, à vous de trouver la vôtre. Mais d'abord, permettez-moi de vous livrer mon témoignage.

Clap de fin : "Je suis l'idée" de Kevin Delanne

Par LaManie


Ce qui est beau avec le monde de l'audiovisuel, c'est que tu rencontres des personnes vraiment intéressantes. Vous vous rappelez de mon article sur le tournage du court-métrage d'Olivier Polia (sinon, viens voir mon petit) ? Eh bien, parmi cette petite équipe toute gentille, très unie et venant principalement de l'ESRA de Nice, un monsieur jouait au script-boy. Ce monsieur, il s'appelle Kevin Delanne. Evidemment, nous avons un peu parlé durant le tournage. Puis un jour, un acteur (oui, le même que pour le court-métrage d'Olivier Polia, Big Up Yann!) m'a envoyé un lien en me disant : « Tiens, j'ai joué dans ce petit film, qui est en compétition pour le Nikon Film Festival. Le réal, c'est Kevin, tu te souviens ? Tu votes ? » Bon. Déjà une fois, on est venu à moi, ça a plutôt bien marché. Et si on recommençait ?


J'ai donc cliqué sur le lien du site du Nikon Film Festival, pour enfin arriver sur la page de Je suis l'idée. Cent quarante secondes, une succession de plans et de décors, un jeu entre des voix off et un couple de personnages : une petite comédie agréable en somme, le genre à te donner la banane. Tu peux la voir ici !

jeudi 6 novembre 2014

Twin Peaks, à voir avec une bonne tasse de café noir (clin d’œil, clin d’œil)

Par Rainbowl

Je sais, je sais. Ca fait trois siècles et des poussières que je n’ai pas écrit d’articles. Mais là, récemment, une news m’a tirée de ma profonde hibernation :

Twin Peaks revient en 2016. Attendez, je répète : TWIN PEAKS REVIENT EN 2016.

Twin Peaks, c’est ma série préférée de tous les temps. Voilà, ça c’est dit. Mais encore ? Mon objectif dans cet article, il est très simple : vous faire regarder cette série. C’est clair ? Allons-y ! (comme dirait le Docteur *clin d’œil*).

J'ai même fait un caméo dans cette série. Mais si, c'est moi, derrière, à droite.

Alors déjà, commençons par la carte d’identité de cette série.

Twin Peaks est donc une série américaine créée par Mark Frost et David Lynch. Yep, David Lynch, le cinéaste qui fait des films super bizarres, mais géniaux (enfin, pour moi en tout cas). N’étant pas l’experte en cinéma du blog, et craignant pour ma vie, je ne vais pas me lancer dans une analyse de Lynch, je ne me sens pas du tout au niveau pour cela. Retenons l’aspect « Je ne comprends rien, mais c’est génial ».

mardi 21 octobre 2014

Clap de fin : le court-métrage "L'inconnu" d'Olivier Polia

Par LaManie

« Salut, ça te dirait de venir assister au tournage d’un court-métrage et d’écrire un article dessus ? » Y'a des jours, on vous propose de drôles de trucs. Mais ok !

Allons-y ! (Alonzo.) 

Ce petit message, c’est un ami acteur qui me l’a envoyé, un jour, comme ça, pour le fun. Je dois avouer que ça fait assez plaisir de recevoir ce genre d’invitations. Et franchement, j’allais pas dire non. C’est ainsi que, toute contente de pouvoir recommencer à raconter mes expériences de tournage (si si, j’en ai déjà fait, venez voir ici !) que je suis allée sur le terrain, carnet au poing et vipère pas loin (Bazin, sors de ce coooorps !). Un tournage, c’est toujours un bon moment, de belles rencontres, saupoudrées de quelques ennuis techniques et météorologiques, mais le tout dans la joie et la bonne humeur. Sauf pour les films d’Abdellatif Kechiche. Mais bon. C’est Kechiche quoi.

samedi 11 octobre 2014

« Si nous n'avons pas de preuve, c'est qu'ils sont très forts. »

Par LordPouic

Je ne me considère pas comme un scientifique, mais avant de me tourner vers l'informatique, je suis passé par un cursus universitaire très orienté sur les sciences. J'étais alors passionné par les nouvelles théories essayant d'apporter une explication aux origines de la vie, à la taille de l'univers, à la création de notre monde et autres. Cette passion m'a amené à rencontrer de nombreux scientifiques et à me renseigner (grâce aux vulgarisateurs) sur le travail de chercheur. La principale chose qui m'ait choqué dans mon apprentissage a été le système de vérification très sérieux effectué derrière chaque nouvelle théorie. Avant qu'une théorie soit acceptée, il faut d'abord se baser sur des faits ou d’autres théories déjà elle-même acceptées. De plus, chacun des éléments composant cette théorie doit être vérifiée par un grand nombre d’autres scientifiques, rendant ce travail très difficile et très encadré. Dès lors, la théorie est validée et approuvée et peut être utilisée. Voici les bases de ce système remis en cause par de petits de groupes aux opinions souvent assez spéciales. Avec l’arrivée d’internet, beaucoup de personnes, n’ayant ni diplômes ni légitimité, ont commencé à remettre en question la communauté scientifiques et ont commencé à exposer un peu partout des théories souvent erronées et parfois loufoques. Parmi ces personnes, nous retrouvons un groupe qui continue jour après jour à m’amuser et à me fasciner, j’ai nommé les complotistes.

dimanche 28 septembre 2014

Le cinéma muet : l'histoire de salles très bruyantes

Par Alabama

Mes chères licornes, aujourd'hui, nous allons nous attaquer à un sujet de l'histoire moderne : le cinéma muet. « Quoiiii ? » me direz-vous « Va-t'en, c'est pas toi la pro du cinéma, nous on veut LaManie ! » Ne me frappez pas tout de suite : je vais plus parler de l'expérience ldu spectateur face à la grande toile muette que des techniques des réalisateurs en soi. Même si je vais en parler. Un peu. Quand même. 

Les Lumières sur la Ville. C'est beau comme je vous explique pas. 

Lorsque l'on dit cinéma muet, on s'imagine souvent du noir et blanc qui bouge, un fond de piano pour mettre un peu d'ambiance. C'est ce à quoi vous pouviez parfois assister. Oui mais. Le cinéma muet était en réalité beaucoup plus bruyant que ça. A tel point que je vais utiliser l'expression d'un grand monsieur, j'ai nommé Michel Chion, qui décide d'utiliser un nouveau terme pour désigner la chose : le cinéma sourd. Un cinéma qui parle, mais pas par la voix directe. Je m'explique. 

vendredi 26 septembre 2014

Ernest, un groupe musical, mais pas que

Par La Maman des Dragons

Alors, je sais que ça fait un petit moment que je n’ai pas écrit d’article, mais mon cerveau s’était mis en hibernation tout seul et j’étais incapable de faire quoi que ce soit. Je déplorais qu’il sorte un jour de cette hibernation forcée et, miracle, il a décidé de passer à la phase décongélation il n’y a pas si longtemps que ça. Je vais donc vous parler de ce qui a provoqué le dégel : Ernest.

Les membres du groupe. Et le banjo.

Je sais que d’habitude je vous parle de théâtre, de Game of Thrones, de fans et de culture geek. Mais aujourd’hui, je vais vous parler d’un groupe de musique et plus particulièrement, du concert que je suis allée voir le 25 septembre 2014 aux Trois Baudets, en vous passant la partie où je me suis perdue dans la rue. Alors, contextualisons un peu les choses : lundi, un ami m’envoie un message me demandant si je suis partante pour un concert le jeudi même. Je dis oui (j’aime bien sortir un peu dans ma vie) et je demande quel type de musique c’est. La réponse (et je n’invente rien) a été : « C’est un style rock avec un mélange de vieux Paris et de malsain mais trop vachement bien. »

mercredi 24 septembre 2014

Clap de fin : un documentaire (ep.4)

Par LaManie

Après plusieurs soirées de tournage, il était temps que quelque chose en ressorte, non ? Eh bien, voici ! Ces soirées passées à filmer les musiciens de Label Troupe ne seront pas sans suite : j’ai pu réaliser un teaser du documentaire qui sortira d’ici quelques semaines. Sans plus de chichis, la vidéo !


J'espère que tu es aussi impatient que moi de voir le résultat final et que ces images te donneront envie de descendre sur Nice pour participer à cette superbe assemblée ! 

Sinon... bah, va manger des cookies. C'est bon, les cookies.

vendredi 12 septembre 2014

Légendes en Siagne, XVIIIème siècle et Tribal Fest : mes histoires de vidéos

Par LaManie

Comme vous avez pu le voir avec mes précédents articles, j'aime bien raconter les petites choses qui ponctuent ma vie. Il est vrai que ce blog n'est pas un journal intime à ciel ouvert, mais je trouve que lorsqu'il nous arrive des trucs fous, il faut savoir les raconter. Et là, il m'est encore arrivé des trucs fous.

On ne le dira jamais assez, mais le rôle de cadreur vidéo sur des événements est vraiment le meilleur job du monde. En l'espace d'un été, j'ai eu l'expérience de ce job trois fois, et à chaque fois sur des événements particuliers et assez étonnants. Comme ça me prendrait trop de temps d'écrire un article sur chacune de ces expériences, j'ai décidé de les résumer toutes les trois ici. Qu'importe le style, vous trouverez votre bonheur ; qu'importe votre envie, vous pourrez suivre l'aventure que vous voudrez. Mais je le répète : j'ai vraiment passé un été qui déchire !


7 & 8 juin : Festival Légendes en Siagne, Peymeinade

samedi 6 septembre 2014

Une visite à Auschwitz en 2014

Par Rainbowl 

Bon. Vous l’avez peut-être déjà compris, la spécialiste en histoire sur ce site, c’est Alabama. Cet article n’est donc pas l’histoire d’Auschwitz en elle-même. C’est un article plus personnel relatant ma visite au camp de concentration Auschwitz I et au camp d’extermination Auschwitz-Birkenau (ou Auschwitz II) en Pologne, il y a quelques jours.

Mais quand même, un peu d’histoire, pour mieux comprendre : Auschwitz, c’est le plus grand camp de concentration et d’extermination nazi. Il a été créé en avril 1940 par Heinrich Himmler, et libéré par l’Armée Rouge le 27 janvier 1945. Entre ces deux dates, ce sont plus d’un million de personnes qui y sont mortes, dont une immense majorité de juifs. C’est donc un symbole fort de la Shoah et de la folie meurtrière des nazis. Ces camps ne furent pas seulement horribles en raison du nombre de morts, mais également par le traitement des prisonniers. Primo Levi, dans Si c’est un homme, écrit que c’est comme cela que l’on peut comprendre  le terme d’« extermination » : c’est une destruction physique mais aussi et surtout psychologique. Ils ne sont plus traités comme des hommes, ils n’agissent plus comme des hommes. On détruit leur humanité, leur dignité.

Le site d’Auschwitz est inscrit au patrimoine de l’Unesco depuis 1979, mais on a pu le visiter bien avant : dès 1947, il devient un musée à la mémoire des victimes. Auschwitz I a été aménagé pour accueillir une exposition permanente, Auschwitz II a été plus ou moins laissé en l’état, avec quelques panneaux ici et là, et des monuments commémoratifs. Auschwitz III (ou Monowitz), où a été déporté Primo Levi, n’existe plus. Quand je parle d’une exposition permanente, il faut savoir que c’est la même exposition depuis 1947. C’est ouvert tous les jours et gratuit. Il est difficile de changer l’exposition dans ces conditions. Nous y reviendrons.

jeudi 28 août 2014

Musique de nerd

Par LordPouic


Comme vous l'avez sûrement remarqué je ne suis pas la personne qui écrit le plus sur CadavrExquis (et si vous ne l’avez pas remarqué, maintenant vous le savez) mais pourtant ce ne sont pas les idées qui me manquent. Mon plus gros problème vient souvent des sujets que j'ai envie de traiter : ils sont vastes et difficilement adaptables au format écrit. Prenons l’exemple du thème des musiques de jeux vidéo. Pour moi, il y a une incompatibilité entre ce que l'on ressent durant l'écoute d'une BO (qu'elle vienne d'un film ou d'un jeu vidéo) et le fait de pouvoir le retranscrire à l'écrit. Et même si toutefois l'envie me prenait d'écrire un article sur ce thème, il finirait indéniablement par ressembler à une grande liste de mes morceaux favoris sans réelle valeur ajoutée. Et pourtant, l'idée de faire un article sur les musiques de jeux vidéo me trotte dans l'esprit depuis quelque temps, mais je sais que je n'arriverais pas à écrire un autre article tant que celui-ci ne sera pas fini. C'est pourquoi j'ai décidé de faire un article recoupant deux de mes passions, la musique et le jeu vidéo, mais sans pour autant parler de BO. J'aimerais vous parler d'un style musical né à travers le jeu vidéo et ayant pris son indépendance depuis peu, la Chiptune.

On a presque tous le matos pour faire de la bonne Chiptune à la maison !

mardi 19 août 2014

Entretien avec un Vampire, l'oeuvre qui parle de tout sauf de vampires (ou presque)

Par Alabama


(Avant tout, je tiens à rappeler que le but de ce site est d’avoir un point de vue subjectif sur les sujets traités. L’œuvre dont je parle n’a pas – encore – été canonisée dans la littérature vénérée par les profs de prépa et l’interprétation qu’on peut en avoir s’autorise, pour quelques décennies, une grande liberté.)

Internet, bonsoir. (Je mens allègrement, il est onze heures du mat.)

Je démarre aujourd’hui Word non seulement parce que ma PS3 met des années à supprimer les sauvegardes qu’elle a entassées depuis deux ans, mais surtout parce qu’il y a quelques jours, LaManie a publié un lien sur mon mur Facebook. Ce lien, le voici.

De quoi me faire pleurer des larmes de sang par la bouche (mais qu’est-ce que j’écris, moi ?). Entretien avec un Vampire, c’est un de mes bouquins préférés. Bouquin qui a donné mon film préféré. Et je peux vous dire que ce que m’a annoncé Première, ça a meurtri mon petit cœur. Parce que les sagas dans le genre, qui viennent plus ou moins de nulle part, généralement, ça n’a pas bonne réputation, d’un point de vue qualité. Suis-je donc là pour me plaindre de films qui ne sont même pas encore sortis avec des acteurs qui n’ont pas encore été désignés ? (Même si sérieusement, un bon coup de maquillage sur la face de Tom Cruise, et ça passe.) Non. Ce serait une grave erreur que je risque de regretter. Sait-on jamais, disons. Anne Rice a elle-même fait l’erreur, lorsque le casting du film (le premier, le vrai, l’unique) (pardon) de juger Tom Cruise avant qu’il puisse tourner une seule scène. Mais comme elle est gentille et honnête, elle lui a envoyé une lettre pour s’excuser des énormes doutes qu’elle avait émis sur sa capacité à jouer Lestat. Bref. Je suis ici pour rendre hommage, à ma manière de petite littéraire et cinéphile à ses heures perdues, à ce monument de la construction moderne du mythe du vampire.

Allez, asseyez-vous, on va parler, vous et moi.

jeudi 14 août 2014

Comment j'ai assisté à la projection de Pulp Fiction au Festival de Cannes

Par LaManie

(J'ai écrit cet article le 24 mai 2014, à la suite de ce grand événement. Dans ma lancée, je l'ai envoyé au site Madmoizelle qui l'a publié. Voilà, vous venez de découvrir d'où vient mon envie de créer un webgazine, voualà voualà !)

Non non, nous ne sommes pas de retour vingt ans en arrière, en mai 1994, année où le grand réalisateur Quentin Tarantino recevait sa première Palme d’Or au Festival de Cannes. Même si j’aurais rêvé de vivre cette scène, durant la cérémonie de remise des prix, où Tarantino a gratifié une personne le huant d’un magnifique doigt d’honneur, je ne pouvais pas : je n’étais même pas encore née.
Mais cette année, en cette 67ème édition du Festival International du Film à Cannes, le plus beau des rêves s’est réalisé.
Je suis en étude de BTS Audiovisuel et mon chef des travaux, qu’il faut nommer pour l’exploit, Monsieur Gérard Camy, est aussi directeur de Cannes Cinéma et du Cinéma de la Plage.
Mais vous me direz : qu’est-ce que le Cinéma de la Plage ? Il s’agit d’une institution du Festival de Cannes mise en place en 2002 à la plage Macé (en face du Palais des Festivals), sous l’initiative de Thierry Frémaux et Gérard Camy, le but étant bien évidemment de rendre une projection « gratuite et accessible au plus grand nombre, dans l’optique de faire découvrir des films classiques au grand public ».
Objectif atteint, si l’on peut dire, car, grâce à ce grand homme du cinéma local, nous avons assisté ce soir, en ce vendredi 24 mai 2014, à la projection exclusive de Pulp Fiction du Quentin Tarantino, en sa présence, projeté en 35mm, sur la plage.

Aucune raison à cette image, elle est juste trop cool.


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