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jeudi 28 août 2014

Musique de nerd

Par LordPouic


Comme vous l'avez sûrement remarqué je ne suis pas la personne qui écrit le plus sur CadavrExquis (et si vous ne l’avez pas remarqué, maintenant vous le savez) mais pourtant ce ne sont pas les idées qui me manquent. Mon plus gros problème vient souvent des sujets que j'ai envie de traiter : ils sont vastes et difficilement adaptables au format écrit. Prenons l’exemple du thème des musiques de jeux vidéo. Pour moi, il y a une incompatibilité entre ce que l'on ressent durant l'écoute d'une BO (qu'elle vienne d'un film ou d'un jeu vidéo) et le fait de pouvoir le retranscrire à l'écrit. Et même si toutefois l'envie me prenait d'écrire un article sur ce thème, il finirait indéniablement par ressembler à une grande liste de mes morceaux favoris sans réelle valeur ajoutée. Et pourtant, l'idée de faire un article sur les musiques de jeux vidéo me trotte dans l'esprit depuis quelque temps, mais je sais que je n'arriverais pas à écrire un autre article tant que celui-ci ne sera pas fini. C'est pourquoi j'ai décidé de faire un article recoupant deux de mes passions, la musique et le jeu vidéo, mais sans pour autant parler de BO. J'aimerais vous parler d'un style musical né à travers le jeu vidéo et ayant pris son indépendance depuis peu, la Chiptune.

On a presque tous le matos pour faire de la bonne Chiptune à la maison !

mardi 19 août 2014

Entretien avec un Vampire, l'oeuvre qui parle de tout sauf de vampires (ou presque)

Par Alabama


(Avant tout, je tiens à rappeler que le but de ce site est d’avoir un point de vue subjectif sur les sujets traités. L’œuvre dont je parle n’a pas – encore – été canonisée dans la littérature vénérée par les profs de prépa et l’interprétation qu’on peut en avoir s’autorise, pour quelques décennies, une grande liberté.)

Internet, bonsoir. (Je mens allègrement, il est onze heures du mat.)

Je démarre aujourd’hui Word non seulement parce que ma PS3 met des années à supprimer les sauvegardes qu’elle a entassées depuis deux ans, mais surtout parce qu’il y a quelques jours, LaManie a publié un lien sur mon mur Facebook. Ce lien, le voici.

De quoi me faire pleurer des larmes de sang par la bouche (mais qu’est-ce que j’écris, moi ?). Entretien avec un Vampire, c’est un de mes bouquins préférés. Bouquin qui a donné mon film préféré. Et je peux vous dire que ce que m’a annoncé Première, ça a meurtri mon petit cœur. Parce que les sagas dans le genre, qui viennent plus ou moins de nulle part, généralement, ça n’a pas bonne réputation, d’un point de vue qualité. Suis-je donc là pour me plaindre de films qui ne sont même pas encore sortis avec des acteurs qui n’ont pas encore été désignés ? (Même si sérieusement, un bon coup de maquillage sur la face de Tom Cruise, et ça passe.) Non. Ce serait une grave erreur que je risque de regretter. Sait-on jamais, disons. Anne Rice a elle-même fait l’erreur, lorsque le casting du film (le premier, le vrai, l’unique) (pardon) de juger Tom Cruise avant qu’il puisse tourner une seule scène. Mais comme elle est gentille et honnête, elle lui a envoyé une lettre pour s’excuser des énormes doutes qu’elle avait émis sur sa capacité à jouer Lestat. Bref. Je suis ici pour rendre hommage, à ma manière de petite littéraire et cinéphile à ses heures perdues, à ce monument de la construction moderne du mythe du vampire.

Allez, asseyez-vous, on va parler, vous et moi.

jeudi 14 août 2014

Comment j'ai assisté à la projection de Pulp Fiction au Festival de Cannes

Par LaManie

(J'ai écrit cet article le 24 mai 2014, à la suite de ce grand événement. Dans ma lancée, je l'ai envoyé au site Madmoizelle qui l'a publié. Voilà, vous venez de découvrir d'où vient mon envie de créer un webgazine, voualà voualà !)

Non non, nous ne sommes pas de retour vingt ans en arrière, en mai 1994, année où le grand réalisateur Quentin Tarantino recevait sa première Palme d’Or au Festival de Cannes. Même si j’aurais rêvé de vivre cette scène, durant la cérémonie de remise des prix, où Tarantino a gratifié une personne le huant d’un magnifique doigt d’honneur, je ne pouvais pas : je n’étais même pas encore née.
Mais cette année, en cette 67ème édition du Festival International du Film à Cannes, le plus beau des rêves s’est réalisé.
Je suis en étude de BTS Audiovisuel et mon chef des travaux, qu’il faut nommer pour l’exploit, Monsieur Gérard Camy, est aussi directeur de Cannes Cinéma et du Cinéma de la Plage.
Mais vous me direz : qu’est-ce que le Cinéma de la Plage ? Il s’agit d’une institution du Festival de Cannes mise en place en 2002 à la plage Macé (en face du Palais des Festivals), sous l’initiative de Thierry Frémaux et Gérard Camy, le but étant bien évidemment de rendre une projection « gratuite et accessible au plus grand nombre, dans l’optique de faire découvrir des films classiques au grand public ».
Objectif atteint, si l’on peut dire, car, grâce à ce grand homme du cinéma local, nous avons assisté ce soir, en ce vendredi 24 mai 2014, à la projection exclusive de Pulp Fiction du Quentin Tarantino, en sa présence, projeté en 35mm, sur la plage.

Aucune raison à cette image, elle est juste trop cool.


mardi 5 août 2014

Clap de Fin : un documentaire (ep.3)

Par LaManie

Suite de mon aventure musicale.
Un soir, enfin, j'ai pu retourner à Nice pour commencer réellement le tournage de mon documentaire sur Label Troupe. Et il s'en est passé des choses !

J'arrive enfin à Nice. Je me dirige directement vers l'appartement du Vieux Nice où a été créé Label Troupe et où vivent les musiciens. Il y a quelque chose d'émouvant dans le fait de découvrir un endroit où tout a commencé. Et avec les personnes qui l'ont fait vivre ! Mathieu, le créateur du concept, revient tout juste d'Israël (où il a eu le droit aux bombardements le jour de son arrivée...). Maintenant, c'est l'effervescence, le grand gourou est de retour ! Tout le monde se retrouve, la musique recommence pour de bon. Surtout que les projets vont bon train... Et l'humeur est toujours au beau fixe. Même si mon instrument à moi, c'est mon reflex, j'ai été acceptée par ces musiciens au grand cœur. Un bon moment qui s'annonce !

De gauche à droite : Anto, Mathieu, Killian, Lionel, Robin. 

Enfin, mon ingénieur son, Jordan, arrive avec tout son matériel. Parce que filmer de la musique, c'est bien, mais avoir du bon son, c'est quand même mieux. Donc zoom h4n (le meilleur pour un bas prix) et perche avec micro canon, c'est pratique pour bien travailler. On a du mal à se mettre en place - faut avouer que quand les musiciens commencent, c'est dur de les arrêter !  mais on y arrive finalement à vingt-et-une heures (en sachant qu'on devait partir jouer au port de Nice à vingt-deux heures, c'est bien organisé, dis donc...).

lundi 4 août 2014

Un bidonville au milieu de Central Park : Hooverville

Par Alabama

Si tu as vu la saison trois de Doctor Who, le nom de Hooverville devrait te dire quelque chose. Sinon, tu es pardonnable.

Le chef badass de Hooverville dans Doctor Who avec un chapeau de cow-boy expliquant le sens du partage
à ses sous-fifres avec une histoire de pain. Pourquoi c'est toujours une histoire de pain ? Pourquoi c'est jamais
une histoire de compote ? JE VEUX DES RÉPONSES. 

Hooverville est un élément capital de la Grande Dépression que nous avons eu tendance à oublier. Comme le Volstead Act, c’est un sujet qui fait partie d’un ensemble historique très complexe, et que l’on se contente d’évoquer sans vraiment l’approfondir. Ma Bible de l’Histoire des Etats-Unis n’en fait même pas mention (je me suis sentie un peu trahie sur le coup).

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