Par Alabama
Mes chères licornes, aujourd'hui, nous allons nous attaquer à un sujet de l'histoire moderne : le cinéma muet. « Quoiiii ? » me direz-vous « Va-t'en, c'est pas toi la pro du cinéma, nous on veut LaManie ! » Ne me frappez pas tout de suite : je vais plus parler de l'expérience ldu spectateur face à la grande toile muette que des techniques des réalisateurs en soi. Même si je vais en parler. Un peu. Quand même.
Les Lumières sur la Ville. C'est beau comme je vous explique pas. |
Lorsque l'on dit cinéma muet, on s'imagine souvent du noir et blanc qui bouge, un fond de piano pour mettre un peu d'ambiance. C'est ce à quoi vous pouviez parfois assister. Oui mais. Le cinéma muet était en réalité beaucoup plus bruyant que ça. A tel point que je vais utiliser l'expression d'un grand monsieur, j'ai nommé Michel Chion, qui décide d'utiliser un nouveau terme pour désigner la chose : le cinéma sourd. Un cinéma qui parle, mais pas par la voix directe. Je m'explique.